Colloque JOURNEE DE BORDEAUX DE L’ERGONOMIE : du 22 au 24 mars 2023

Thème du 29ème colloque : « Attractivité des entreprises ou attractivité du travail ? Quelles expériences et quels enjeux pour la pratique de l’ergonomie ?« 

SITE DU COLLOQUE JDB Journées de Bordeaux | Ergonomie (jdb-ergonomie.fr)

Les tensions sur le marché de l’emploi et la pénurie de main-d’œuvre dans de nombreux secteurs d’activité ont mis particulièrement en lumière la question de l’attractivité des entreprises. Plusieurs indicateurs d’alerte sont venus illustrer le phénomène : la rapidité de démissions ou le désengagement de salariés, une hausse du turn-over, des emplois qui restent non pourvus, un absentéisme élevé…
Mais de quoi parle-t-on quand on évoque l’attractivité ? S’agit-il de l’attractivité de l’emploi (statut, rémunération, avantages annexes), de celle de l’entreprise et de son image, ou bien aussi de l’attractivité du travail lui-même ? Est-ce la même chose pour tous les salariés suivant le statut, le secteur, la taille de l’entreprise ? Dans quelle mesure l’attractivité recouvre la préoccupation de rendre le travail soutenable ? Est-ce que les ergonomes ont de tout temps pris en compte cette question, ou bien est-ce que son arrivée sur le devant de la scène sociale est une nouvelle opportunité à saisir ?


Les critères à partir desquels évaluer l’attractivité d’une entreprise sont forcément multiples. Ils sont aussi au cœur des débats sociaux. Ils peuvent concerner la politique de formation, l’organisation du travail, la prise en compte de la pénibilité notamment en fin de carrière, les modes de management, l’autonomie et la possibilité de développer ses compétences, l’égalité professionnelle, la qualité du dialogue social. D’autres préoccupations émergent aussi, peut-être plus liées au contexte actuel, comme l’adéquation des emplois proposés aux compétences des personnes recrutées, l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle (horaires, télétravail), l’engagement réel de l’entreprise dans une démarche de Responsabilité Sociale et Environnementale. Certains sujets, comme les conditions de transport et de logement, portent ces préoccupations à une échelle territoriale et d’aménagement des territoires. Alors, l’attractivité est-elle le nouveau paravent pour éviter de parler du travail, ou bien un point d’appui pour les ergonomes ?

Comment l’analyse du travail éclaire ces enjeux de manière spécifique ? En quoi ces questions poussent à de nouvelles collaborations professionnelles avec les responsables des Ressources Humaines, les gestionnaires, les responsables de projets, et à de nouvelles pratiques ? Comme toujours, les présentations sur les succès ou difficultés dans des interventions ergonomiques serviront de matériaux à de longs temps de discussion pour mieux identifier les opportunités pour le développement de notre métier.
Les inscriptions sont ouvertes en ligne (http://jdb-ergonomie.fr).

Séminaire annuel du Creapt  : les 15 et 16 mai 2023 à Paris (Cnam – Paris 3ème)

Thème : « Les fins de vies actives à l’épreuve des conditions de travail ».

Inscription et information ==> https://forms.office.com/Pages/ResponsePage.aspx?id=tLwjs1htJU-Hv2Nmw9aJr7L4B-qKOjdJoF2cbHt3ktlUMTdFUk45VlY4VlhHQVBBTFZKT0Q4R0dPUC4u&wdLOR=c65338597-E6C1-4B12-B2EE-029CC61C25A9&utm_source=Sarbacane&utm_medium=email&utm_campaign=Lettre%20info%20mars%2023

Le programme sera disponible en avril ici : http://ceet.cnam.fr/seminaires/
Pour toute question, merci de vous adresser à : creapt@cnam.fr

Colloque RUMEF : du 24 au 26 mai 2023

Thème : « Les métiers de la formation à l’épreuve du travail. Perspectives Internationales et interdisciplinaires« 

SITE DU COLLOQUE Les métiers de la formation à l’épreuve du travail. Perspectives internationales et interdisciplinaires – Sciencesconf.org

Plusieurs champs problématiques sont convoqués pour ce colloque selon que le travail est appréhendé en tant qu’expérience, activité, lieu d’acquisitions, foyer à partir desquels s’élaborent les certifications. Ces différenciations ne sont pas sans conséquence sur la typologie des métiers de la formation ni sur les postures qu’elles engagent pour ses membres : accompagnement des apprentissages en situation de travail, ingénierie et accompagnement des parcours de formation multimodaux, formation par simulation, reconnaissance des acquis et des valeurs, transformation des environnements et des normes, ingénierie des compétences et des certifications. Elles peuvent également faire l’objet d’enquête, selon que les relations entre travail et formation sont pensées dans les contextes de la formation continue, de la santé publique, de l’économie sociale et solidaire, de l’orientation et de l’insertion professionnelle.

Penser le travail, en tant que lieu d’acquisition des compétences, de développement professionnel, de professionnalisation, suppose de définir et de spécifier cette activité humaine durant laquelle le sujet exerce, s’implique, se confronte, parfois endure, mais également transforme son milieu professionnel, ses normes et ses règles, s’affronte à des situations de travail qu’il façonne en partie. Il y a lieu ici, tout en prenant en compte les travaux provenant de l’ergonomie, de l’ergologie, de l’analyse de l’activité, de la didactique professionnelle, de l’anthropologie et de l’ethnologie du travail, de la sociologie du travail et des professions, de la sociolinguistique du travail, de l’histoire et de la sociohistoire du travail et de la formation, de penser les facteurs situés dans un champ tensionnel entre celui du travail et de la formation.  Ils participent de la transformation des métiers, de l’identité et des pratiques professionnelles : apprenants adultes, formateurs, accompagnateurs, tuteurs, mais également responsables de formation, ingénieurs de formation, analystes du travail, cadres de santé, paramédicaux, ergonomes, certificateurs, dans les domaines de l’éducation, de la formation, du travail social, de la santé. Ces travaux trouvent également des résonances à l’international, notamment via les théories de la connectivité, de Workplace Learning et des théories allemandes de la complémentarité dans le système dual…

Différents champs problématiques sont donc convoqués, et décrits dans les axes ci-dessous 

 Penser une transformation des métiers à partir des situations de travail

La notion de situation semble s’être imposée dans les discours, les dispositifs et les pratiques de formation, notamment depuis la mise en place de l’AFEST (action de formation en situation de travail) en 2018. Par ce dispositif, le travail semble devenir le lieu premier de l’apprentissage, tout en mobilisant la notion de situation dans le cadre des ingénieries de formation et d’accompagnement des parcours de formation, en éducation, formation et santé. Penser la formation à partir des situations fait cependant émerger des problèmes d’ordre à la fois théoriques et méthodologiques : qu’est-ce qu’une situation de travail ? Comment rendre cette notion opérationnelle dans un dispositif ? Quelles typologies retenir en fonction des objectifs pédagogiques et des enjeux de formation ? Quelle transposition didactique opérer entre situation de travail et situation de formation ? Quelles sont les réductions générées par une approche situationnelle du travail ?

Former les formateurs à prendre en compte le travail

Si le travail constitue aujourd’hui un point de référence pour les acteurs des métiers de la formation, permettant ainsi de dénouer ce que Jobert[1] a nommé une « relation malheureuse » entre les formateurs et le travail, il n’en reste pas moins que cette orientation est fragile. Elle l’est d’abord parce que la notion de travail se confond encore trop souvent avec celle d’emploi. Le travail recèle non seulement la prescription qui est adressée à la personne, mais aussi son investissement subjectif, affectif, sa créativité et sa capacité à dépasser les attendues de la tâche, pour produire des réponses compétentes, c’est-à-dire ajustées aux situations variables et efficientes. Dès lors, comment sensibiliser les formateurs à exercer cette nouvelle tâche qui consiste à se saisir d’une part du travail réel pour sa formation et avec quels outils ? Comment former ce formateur à une ingénierie des compétences à partir de situations mouvantes ? Comment, enfin, aider les formateurs à intégrer, dans leurs pratiques, les activités réalisées par et avec les apprenants, dans leurs parcours, activités qui peuvent aussi s’apparenter à du travail ?

Des formations pour satisfaire quels « besoins » ?

Selon le Code du travail, tout travailleur a le droit de suivre une formation lui permettant « d’acquérir une qualification correspondant aux besoins de l’économie prévisibles à court ou moyen terme » (L6314-1). Pour être éligibles aux financements publics, les formations doivent faire preuve de leur utilité. Une telle limite est à la fois très restrictive et peu précise. Comment est-elle interprétée concrètement ? Qui décide (et dans quels contextes) que cette condition est remplie ? Quels sont ses effets sur l’offre de formation et, plus avant, sur l’exercice des métiers de la formation ? De telles questions appellent un examen des institutions qui portent cet impératif économique et des acteurs qui s’en sont fait les promoteurs depuis l’émergence du secteur. Que ce soit dans le registre des idées ou de leur mise en œuvre politique, une telle perspective invite à retracer la généalogie de cette injonction comme des « outils » et « dispositifs » qui ont été construits pour la rendre efficiente. L’approche par compétences par exemple, qui tend à s’imposer depuis plusieurs décennies, aussi bien dans le monde de l’éducation et de la formation que dans celui du travail n’est-elle pas le produit d’un tel impératif ? L’emploi n’y est-il pas devenu prépondérant au détriment des métiers, des professions et du travail en général ?

La formation : levier de transformation du travail

On parle, de plus en plus, d’un nécessaire partenariat entre le monde du travail et le monde de la formation. Mais ce rapprochement, convoqué notamment par les branches professionnelles, comporte, bien souvent, une orientation implicite : c’est à la formation de s’adapter aux évolutions du travail. Les référentiels doivent de plus en plus « coller » aux réalités professionnelles quand ces dernières ne cessent d’évoluer, conduisant la formation à un retard assuré. De quelle manière contrarier cet implicite pour que la formation, au contraire, devienne force de proposition pour les transformations à envisager dans les espaces d’expression professionnels et l’exercice des métiers ? N’existe-t-il pas une voie possible pour que la formation puisse, à son tour, questionner le travail, voire le transformer ? Est-ce qu’entrer en formation a une incidence sur la tension entre le travail prescrit et le travail réel ? Si la formation et les stages changent les représentations du travail, alors quelles retombées ont-ils sur les pratiques professionnelles en retour ? Plus avant, la formation n’a-t-elle pas une responsabilité dans ce que deviennent les espaces professionnels ?

Numérisation du travail et transformation de la formation à l’heure du big data

Intrinsèquement, le travail suppose de manière croissante l’usage d’objets techniques numériques (outils, machines, systèmes informatiques et algorithmiques, plateformes, robots, etc.). C’est pourquoi, les changements induits par les transformations numériques et leurs conséquences, notamment les modalités de connexion et de déconnexion, le télétravail, l’intelligence artificielle et la gouvernance des données, l’évolution des compétences et des emplois, l’utilisation d’artefacts numériques et la charge de travail qui peuvent en résulter, devraient être aujourd’hui questionnés et accompagnés par des travaux de recherche et plus particulièrement en sciences de l’éducation et de la formation. Entre conception « adéquationniste » et « transversaliste », quels enjeux de professionnalisation du domaine de la formation à l’heure du big data et de l’intelligence artificielle ? Quel avenir pour les métiers de la formation et comment les préparer aux transformations du travail ? Par ailleurs, eux-mêmes confrontés à la nécessaire « digitalisation » de leurs pratiques, soulignaient que de nombreuses recherches existaient déjà en sciences de l’éducation, sur ce qu’il est convenu d’appeler les Learning Analytics (LA) ou l’analytique des apprentissages numériques. Dans cette approche, est-il est possible d’étudier, dans des environnements informatiques pour l’apprentissage humain (EIAH) comme dans les dispositifs de formation partiellement ou entièrement à distance, les processus d’apprentissage, les modèles ou les profils des apprenants ?

Colloque GIS GESTES : du 1er et 2 juin 2023 à la MSH Paris-Nord

Thème : « Changer de travail ou changer le travail ? Santé, inégalités, environnement« 

SITE DU COLLOQUE Changer de travail ou changer le travail ? Santé, inégalités, environnement – Sciencesconf.org

Avec son quatrième grand colloque, dix ans après le premier à Montrouge en 2013, le Gestes organise un nouveau moment de réflexion pluridisciplinaire autour des grands enjeux du travail aujourd’hui. Le travail et la santé au travail constituent des enjeux sociaux de première importance. À partir de 2020, ces enjeux ont été placés sous le miroir grossissant de la crise sanitaire, elle-même enchâssée dans une série d’autres crises, du travail, de l’emploi mais aussi écologique et sociale, en cours depuis plusieurs décennies. Travailleurs, travailleuses mais aussi demandeurs et demandeuses d’emploi font face à un accroissement des inégalités ainsi qu’à une transformation souvent brutale de leurs conditions de travail, au risque de leur santé physique et mentale.

À la fin des années 2010, les suicides de salarié·e·s de France Télécom ou encore du Technocentre de Renault Guyancourt avaient fait des facteurs psychosociaux de risques des enjeux particulièrement saillants, tant dans le monde du travail que dans celui de la recherche. Il paraissait alors important de mettre en avant la notion de souffrance au travail. Durant la décennie suivante, de nouvelles interrogations ont émergé autour de notions telles que la pénibilité ou la qualité de vie au travail, ce qui a conduit à remplacer le concept de « souffrance » dans l’acronyme du Gestes, par celui de « santé », plus transversal.

La crise pandémique entamée en 2020 a plus que jamais rendu manifestes les liens entre santé, inégalités et environnement, du fait de l’intensification et de la massification d’enjeux jusqu’alors perçus comme mineurs. Cet appel à communication s’adresse ainsi aux chercheur·s·es de toutes les disciplines des SHS mais aussi en médecine ou épidémiologie, dont les travaux interrogent un travail en crise(s). Observe-t-on, à l’instar du très médiatisé phénomène du big quit états-unien, le développement de pratiques individuelles de retrait du marché du travail ou de changement d’emploi quand celui-ci apparaît absurde ou difficilement soutenable ? Au contraire, que deviennent les collectifs de travail et l’action collective face à cette nouvelle crise ? Ces interrogations seront déclinés en trois grands axes, avec en toile de fond l’enjeu de savoir : comment changer le travail ? Avec qui ? De manière (plus) collective ?

Axe 1 / Effets des crises sur le travail

Axe 2 / Sens du travail, bifurcations : changer de travail

Axe 3 / Changer le travail, la santé et le rapport à l’environnement

Colloque EPIQUE : le 4 juillet (Doctoriale) et du 5 au 7 juillet 2023 à l’Ecole du Val de Grâce à Paris

Thème : « Comprendre et accompagner les défis contemporains : quelles approches nouvelles pour la psychologie ergonomique et l’ergonomie ? »

SITE DU COLLOQUE 12e Colloque EPIQUE • ARPEGE (arpege-recherche.org)

Le 12ème colloque EPIQUE sera précédé comme à l’habitude de la journée Doctoriale le 4 juillet,

Les doctoriales ont pour objectif de fournir l’occasion à des doctorants en thèse de présenter leurs sujets de recherche dans le cadre d’un atelier limité et informel afin d’en explorer certains aspects, de partager leurs idées et premières expériences avec d’autres doctorants et de profiter des conseils d’un comité de volontaires, chercheurs et professeurs, dans les domaines d’intérêt de l’Ergonomie et de la Psychologie Ergonomique. Le but de ces doctoriales est d’aider les doctorants, venus avec leurs travaux de thèse en leur état d’avancement, en fournissant des retours d’information et des conseils dans une atmosphère constructive et détendue. Nous invitons les doctorants à profiter de cette occasion pour partager leur travail avec d’autres doctorants ainsi que des chercheurs et professeurs experts dans le domaine.

Au cours de cette journée, les doctorants présenteront l’avancée de leurs travaux en se concentrant sur le thème principal de leur thèse, sur ce qu’ils ont réalisé jusqu’ici et comment ils planifient la suite de leur travail. Un temps sera réservé pour la discussion et le retour d’informations de deux répondants et des autres participants. Il n’y a pas de restriction thématique. Tous les champs de l’Ergonomie et de la Psychologie Ergonomique peuvent être couverts. Cette journée se déroulera la veille du colloque EPIQUE 2023.

Plus largement le colloque sera l’occasion d’examiner le rôle de la Psychologie ergonomique et de l’Ergonomie dans les défis que notre société doit aujourd’hui relever. Comment nos disciplines doivent-elles se positionner pour, non seulement accompagner, mais aussi devancer les transitions majeures qui touchent tous les domaines de l’activité humaine, notamment professionnelle ?

Seront abordés les conséquences psychologiques et ergonomiques de la pénétration ultra-rapide de technologies hybrides et intelligentes (mobiles, augmentées, virtuelles, ubiquistes, collaboratives ou autonomes) dans l’activité humaine. Dans une perspective de préservation de la santé et de la sécurité, nous examinerons également la nature des situations menaçantes, voire critiques, auxquelles les opérateurs sont ou seront exposés. Nous nous interrogerons aussi sur les évolutions du travail dans le contexte des transitions énergétiques et écologiques.

Pour devancer l’impact de ces grands changements contemporains sur l’activité humaine, la psychologie ergonomique et l’ergonomie doivent faire un travail réflexif et prospectif afin de continuer à être force de proposition. Quelles innovations méthodologiques doit-on promouvoir pour mieux saisir ces enjeux ? Quels développements théoriques et conceptuels doit-on encourager ? Doit-on provoquer ou accepter des ruptures épistémiques pour mieux armer nos disciplines ?

En complément de cette réflexion qui sera le fil rouge du colloque au travers des conférences invitées, des symposiums et des sessions spéciales, nous débattrons également de thématiques variées. Tous les thèmes sont bienvenus, dès lors qu’ils nous permettent d’accroître notre compréhension des ressorts de l’activité humaine finalisée par une tâche et d’identifier les déterminants de l’expertise, en tenant compte de leurs effets complexes sur la santé humaine, pour, in fine, proposer des voies d’amélioration anthropocentrée des systèmes sociotechniques au sein desquels l’humain agit.

Congrès ODAM (Organizational Design And Management) : du 11 au 13 juillet 2023 à Bordeaux.

Thème : « Transitions sociétales et transformations du travail : intervenir sur les organisations et le travail des managers ».

Dans un contexte d’importantes transitions sociétales et technologiques, l’ergonomie et les facteurs humains doivent considérer les questions organisationnelles et managériales comme essentielles pour les entreprises. Ce congrès sera l’occasion de découvrir les avancées sur ces sujets avec une communauté internationale et de partager nos expériences avec elle. Toutes les informations utiles sont à retrouveer sur le site du congrès : https://www.odam2023.org/

Congrès AIPTLF : du 17 au 21 juillet 2023 à Montréal

Thème : « L’appel d’un temps nouveau : l’humain au cœur de la transformation du travail« 

SITE DU CONGRES Accueil – aiptlf 2023

Les universités francophones québécoises ont le plaisir d’accueillir 22e congrès de l’Association internationale de psychologie du travail de langue française (AIPTLF). Les bouleversements vécus à l’échelle mondiale au cours des dernières années ont perturbé l’écosystème organisationnel. Les transformations majeures qui en résultent ne laissent personne indifférent et offrent l’opportunité de repenser nos organisations ainsi que la relation que nous entretenons avec le travail. L’ensemble des défis rencontrés collectivement sont au centre du 22e congrès de l’AIPTLF.

Congrès SELF 2023 : du 17 au 19 octobre 2023 à Saint Denis sur l’île de la Réunion

Thème : « Développer l’écologie du travail ».

Pour ce 57 ème congrès La SELF a fait le choix d’aller à la rencontre de ses territoires avec ce premier congrès de l’ergonomie de langue française organisé dans l’hémisphère sud depuis 18 ans.

Deux offres de participation au Congrès que vous soyez contributeur ou auditeur des contenus :

  • Une offre présentielle : le programme complet du Congrès se déroulera au Palais des Expositions et des Congrès de la Réunion à Saint-Denis où se tiendront conférences plénières, symposiums, ateliers, communications et programme social.
  • Une offre virtuelle : c’est la nouveauté du Congrès, réservée à ceux qui ne peuvent se déplacer, une formule à distance via une plateforme de visioconférence. Il sera alors possible, en temps réel d’accéder aux communications programmées dans des sessions virtuelles et de visionner en différé les principales conférences plénières du congrès.